54 sélections aux championnats de France

Ce samedi 13 mai s’ouvre la campagne des championnats de France 2023. A Toulouse, les M20 débuteront une campagne où le club ambitionne de bons résultats, sur fond de record.

Chaque année, les championnats de France sont la conclusion de la saison des épéistes grenoblois. Le 13 mai à Toulouse, la campagne 2023 s’ouvrira avec beaucoup d’ambitions pour le club. « C’est un bonne chose. Nous avons 54 sélections pour les championnats de France » précise Didier Marguerettaz, maître d’armes du club. « C’est un record. Jamais nous n’avions eu autant de sélectionnés« . Dans toutes les catégories, le club sera fièrement représenté et avec lui de nombreuses chances de médailles. « On a de bonnes chances de médailles dans toutes les catégories, précise Didier Marguerettaz. On espère également de belles surprises« .

Objectif 10 médailles

Et des surprises, le coach grenoblois en espère dès ce week-end avec les M20 à Toulouse. « Nous avons les médailles par équipes d’assurées. Il reste maintenant à savoir quelles en seront les couleurs. » Au total, l’objectif de 10 médailles est avancé par les isérois dont « 2 à 3 titres« . Et pour Didier Marguerettaz, pas de doute, « ce week-end, en M20, va donner la tendance. » A Toulouse, les jeunes épéistes avancent de belles ambitions. « Le titre M20 par équipes nous échappe chez les hommes depuis plusieurs saisons. Après leur victoire à Lisieux fin avril, j’ai bon espoir que les garçons concluent de belle manière dimanche.« 

Le titre en senior dames

Autre titre qui échappe au club depuis sa création, celui de Nationale 1 en senior dames. Le 4 juin à Châlons-en-Champagne, Didier Marguerettaz espère bien rompre la malchance. « On a déjà fait 2 et 3e. Il nous manque le titre. On court après et je pense que cette année peut être la bonne année« . Sur le papier, l’équipe ne manque pas d’ambitions avec Aliya Luty et la polonaise Renata Knapik-Miazga parmi les meilleures mondiales, Emma Lauvray sélectionnée aux championnats d’Europe U23 et Océane Tahé un des cadres de ce quatuor. « On est actuellement deuxième du classement après les phases de poule, juste derrière Levallois. Il y a peu d’écart entre nos deux équipes« . Début juin, les filles auront leurs cartes en main pour placer Grenoble sur la plus haute marche de l’escrime française.